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by seb - 2011-10-05 18:01
Nous y sommes, un moment qui restera gravé dans nos mémoires, l'Acropolis.

Nous y arrivons vers midi, je rend mes camarades jaloux en obtenant une entrée gratuite grâce à ma carte d'étudiant de 2009, alors qu'eux payent leur pass douze euros. Je suis un gros rat, j'assume.

Dés l'amphithéâtre d'Herodes Atticus, nous rentrons tous en transe, le poids de l'histoire nous écrase dès le passage des propylées, nous faisons abstractions des centaines de touristes qui nous entourent, et qui sont comme nous subjugués par la solennité des lieux. Nous n'accordons pas plus d'importance aux grues, échafaudages et ouvriers qui s'affairent sur ce qui est une chantier perpétuel de rénovation et de fouilles.


Durant plus d'une heure nous remplissons nos têtes et nos cartes mémoires de souvenirs. Le soleil est de la partie, les monuments magnifiques, la vue sublime.







Quelques photos souvenir... (photo-bateau, photo-pipeau, you name it)





La visite continue sur d'autres sites, forcément moins impressionnants, comme l'Olympiéion, au pied de l'acropole.


Une longue liste de visites, et près de sept kilomètres de marche plus tard, et nous nous posons au sommet de la colline de Filopappos, a la même hauteur et en face de l'Acropole, ou nous jouissons d'une vue à 360 degrés jusqu'aux limites d'Athènes.

Vue de l'amphithéâtre d'Herodes Atticus:



Je ne peux pas parler de cet endroit sans évoquer le concert, en 1993, de l'artiste new-age grec Yanni, mondialement connu pour ses créations musicales lors de la plupart des cérémonie d'ouverture de JO, et qui avec son Live at the Acropolis signa la deuxième meilleure vente de music video de tous les temps après Michael Jackson. Petite vidéo, donc (avec la moustache)



Le reste de la journée n'est qu'anecdotique, mais bon, ce blog est pour mes archives, le lecteur est secondaire et il peut arrêter sa lecture quand il le souhaite.
 
Nous rentrons à l'hôtel, je casse ma sandale, m'achète un lecteur de carte mémoire qui ne fonctionne pas. Je profite des chaussures de Romain et de ses relations dans la pègre d'Athènes pour aller faire changer le lecteur défectueux auprès du fumier de pakistanais qui me l'a vendu. Je répare ma chaussure, je me gave de Gyros. Et je vais dormir.

Je ne peux finir cette journée sans un petit aparté.