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Category • Méditerranée - carnets
Un petit tour en Italie, Roumanie, Turquie et Grèce.

Voir également: Gallerie de Photos
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    [title] => Vingt-troisième jour - Pise
    [content] => [i]Par Anthony et Seb[/i]

Aujourd'hui journée repos, nous avons prévu de visiter Pise, enfin pour être exact juste la tour car c'est la seul chose a voir d'intéressant - petite exagération de ma part, surement-  la ville n'étant qu'à une heure de train de là, cela nous permet pour notre dernière journée de clôturer en apothéose notre séjour touristique et culturel de manière parfaite.

Pour reprendre la phrase phare de notre séjour -on en aura vu des belles choses, hen ma couille- spéciale dédicace a Seb. 

Donc la journée commence plutôt bien, le train étant à coté -Seb a bien repéré le subterfuge- nous voilà embarqués dans le train régional.  Comme convenu nous arrivons à Pise vers 14h et immédiatement (400m) nous somme sur la tour.

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Pour être penché, elle l'est!!!... Nous slalomons entre les idiots qui se font tous la photos pipo en faisant semblant de retenir la tour, on trouve ça débile...

Le monument est très beau, et l'ensemble est très bien restauré et sauvegardé. Nous faisons quelques photos et envisageons de monter à son sommet, mais une fois de plus le monde marche sur la tête, le tarif d'entrée est exorbitant, à la limite de l'arnaque, nous nous contentons de l'admirer du bas.

Nous avions dans l'idée de sortir de la gare, prendre une photo, et repartir aussi sec dans l'autre sens, nous aurions dû.

Pise est une vulgaire usine à touristes, le seul intérêt est sa tour. Le temps d'être déçu de la plupart des prestations commerciales que nous avons consommé, nous repartons.

Florence nous attend, tout est fermé en ce dimanche, on se fait des pizzas, et dodo. Demain c'est la fin du voyage.
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by seb - 2011-10-14 18:01
Par Anthony et Seb

Aujourd'hui journée repos, nous avons prévu de visiter Pise, enfin pour être exact juste la tour car c'est la seul chose a voir d'intéressant - petite exagération de ma part, surement-  la ville n'étant qu'à une heure de train de là, cela nous permet pour notre dernière journée de clôturer en apothéose notre séjour touristique et culturel de manière parfaite.

Pour reprendre la phrase phare de notre séjour -on en aura vu des belles choses, hen ma couille- spéciale dédicace a Seb. 

Donc la journée commence plutôt bien, le train étant à coté -Seb a bien repéré le subterfuge- nous voilà embarqués dans le train régional.  Comme convenu nous arrivons à Pise vers 14h et immédiatement (400m) nous somme sur la tour.



Pour être penché, elle l'est!!!... Nous slalomons entre les idiots qui se font tous la photos pipo en faisant semblant de retenir la tour, on trouve ça débile...

Le monument est très beau, et l'ensemble est très bien restauré et sauvegardé. Nous faisons quelques photos et envisageons de monter à son sommet, mais une fois de plus le monde marche sur la tête, le tarif d'entrée est exorbitant, à la limite de l'arnaque, nous nous contentons de l'admirer du bas.

Nous avions dans l'idée de sortir de la gare, prendre une photo, et repartir aussi sec dans l'autre sens, nous aurions dû.

Pise est une vulgaire usine à touristes, le seul intérêt est sa tour. Le temps d'être déçu de la plupart des prestations commerciales que nous avons consommé, nous repartons.

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    [title] => Vingt-deuxième jour - Vers Florence
    [content] => [i]Par Anthony[/i]

Nous nous levons tranquillement, café, puis nous partons en ville vers la gare dans le but de nous imprégner de cette ville qui est une référence de la renaissance.

Après un petit tour à l'office de tourisme local et avoir récupéré un plan de la ville nous nous dirigeons direct vers la curiosité majeure de la ville : l'énorme, gigantesque, la colossale cathédrale de Florence, c'est d'ailleurs la quatrième plus grosse au monde, après celle de Rome, de Londres et de Milan.

Nous ne nous laissons pas tenter par la visite simplement hors de prix, pas moins de 23€ pour l'intégrale et 8€ juste pour la coupole qui nous aurai presque tenté si il n'y avait pas eu une si grande attente.

Après de nombreuses photos souvenir nous partons au travers de la ville, guidé par notre ranger favori pour découvrir d'autres facettes de cette belle ville.

Le Palazzo Vecchio, église trés ancienne, qui ressemble à un château fort, avec de belles statues à ses pieds, dont un bassin de Poseidon, un ensemble de galeries, Galleria degli Uffizi, et le ponte Vecchio, avec un maximum de boutiques dessus.

Au fur et à mesure de nos déambulations nous voyons aussi le Palazzo Pitti, la Basilica di San Spirito et la Basilica di San Maria Novella, nous finissons par la Fortezza Da Basso.

Après cela nous tombons sur une brocante qui nous occupe une bonne heure, où nous chinons sans grande conviction mais nous passons un bon moment.

Nous rentrons, et pour finir la journée nous nous offrons une petite collation de bonne aloi avec une ou deux petites bouteilles, je vais me coucher le premier -pour une fois- laissant nos amis discuter et déblatérer jusqu'à tard dans la nuit.
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by seb - 2011-10-13 18:01
Par Anthony

Nous nous levons tranquillement, café, puis nous partons en ville vers la gare dans le but de nous imprégner de cette ville qui est une référence de la renaissance.

Après un petit tour à l'office de tourisme local et avoir récupéré un plan de la ville nous nous dirigeons direct vers la curiosité majeure de la ville : l'énorme, gigantesque, la colossale cathédrale de Florence, c'est d'ailleurs la quatrième plus grosse au monde, après celle de Rome, de Londres et de Milan.

Nous ne nous laissons pas tenter par la visite simplement hors de prix, pas moins de 23€ pour l'intégrale et 8€ juste pour la coupole qui nous aurai presque tenté si il n'y avait pas eu une si grande attente.

Après de nombreuses photos souvenir nous partons au travers de la ville, guidé par notre ranger favori pour découvrir d'autres facettes de cette belle ville.

Le Palazzo Vecchio, église trés ancienne, qui ressemble à un château fort, avec de belles statues à ses pieds, dont un bassin de Poseidon, un ensemble de galeries, Galleria degli Uffizi, et le ponte Vecchio, avec un maximum de boutiques dessus.

Au fur et à mesure de nos déambulations nous voyons aussi le Palazzo Pitti, la Basilica di San Spirito et la Basilica di San Maria Novella, nous finissons par la Fortezza Da Basso.

Après cela nous tombons sur une brocante qui nous occupe une bonne heure, où nous chinons sans grande conviction mais nous passons un bon moment.

Nous rentrons, et pour finir la journée nous nous offrons une petite collation de bonne aloi avec une ou deux petites bouteilles, je vais me coucher le premier -pour une fois- laissant nos amis discuter et déblatérer jusqu'à tard dans la nuit.
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    [title] => Vingt-et-unième jour - Venise
    [content] => [i]Par Anthony[/i]

Aujourd'hui est un grand jour, nous allons découvrir et visiter la ville oh combien mythique de Venise.

Nous nous levons tôt et profitons du breakfast (pas exceptionnel d'ailleurs, ne pas oublier de descendre cet hôtel sur internet).

Après avoir attendu trop longtemps un bus qui ne passe qu'une fois par heure, nous roulons sur la grande et longue digue qui  dessert le chapelet de 118 îles et ilots constituants Venise.

Nous y sommes, laissant derrière nous les voitures et leurs désagréments, et après s'être muni d'une carte des lieux nous enjambons le Rio Grande. Le temps est de la partie : un ciel bleu magnifique.

Romain s'est déguisé en ranger, et nous guide au travers des canaux et ruelles, nous faisant passer par le plus de monuments possibles.

C'est superbe, j'en prends plein les yeux, et il n'y a pas que moi, Seb, ayant saturé sa carte mémoire s'en fend d'une autre pour immortaliser notre périple.

Nous comprenons très bien à chaque détour de rue pourquoi cette ville jouie d'une telle réputation, ce n'est pas surfait, aucune autre ville au monde ne ressemble à celle ci... 

Nous sommes sous le charme et déambulons au gré de nos envies, laissants le charme des lieux nous habiter, portés comme sur un petit nuage.

Après de longs tours et détours, visitants plusieurs églises -Santa Maria del Carmelo, Santa Maria Gloriosa dei Frari, San Rocco- , et passans entre autre par le ponte di Rialto nous arrivons sur la place St Marc.

L'endroit est à couper le souffle, ici la grandeur Vénitienne est à son paroxysme. La Basilica di San Marco, la Torre dell'Orologio, le Campanile, le palais des Doges, la Libreria Sansoviniana (là où fut tourné Indiana Jones), les colonnes surmontées pour l'une d'entre elle du célèbre lion vénitien... Les références cinématographiques sont nombreuses et nous en évoquons un certain nombres.

Petite déception passagère le Ponte dei Sospiri est en travaux, et donc recouvert d'échafaudages inesthétiques (et de publicités pour citroën).

Nous continuons encore longuement à déambuler  faisant des photos et films comme des Japonais. Nous prenons le temps de nous poser boire un coup, en contemplant les gondoliers et la multitudes de bateaux aller et venir, nous assistons même à l'intervention d'une ambulance maritime, super, ici tout est fluvial même la police.

Nous rentrons tranquillement, profitant de chaque instant.

La journée se termine à la gare où nous apprenons que le train pour Florence n'est que le lendemain matin à 6h.

Nous passons donc une nouvelle nuit à l'arrache, d'autant que ces incompétents finis ont décidé de fermer la gare, de façon à ce qu'on se les caille bien.

C'est une réussite.
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by seb - 2011-10-12 18:01
Par Anthony

Aujourd'hui est un grand jour, nous allons découvrir et visiter la ville oh combien mythique de Venise.

Nous nous levons tôt et profitons du breakfast (pas exceptionnel d'ailleurs, ne pas oublier de descendre cet hôtel sur internet).

Après avoir attendu trop longtemps un bus qui ne passe qu'une fois par heure, nous roulons sur la grande et longue digue qui  dessert le chapelet de 118 îles et ilots constituants Venise.

Nous y sommes, laissant derrière nous les voitures et leurs désagréments, et après s'être muni d'une carte des lieux nous enjambons le Rio Grande. Le temps est de la partie : un ciel bleu magnifique.

Romain s'est déguisé en ranger, et nous guide au travers des canaux et ruelles, nous faisant passer par le plus de monuments possibles.

C'est superbe, j'en prends plein les yeux, et il n'y a pas que moi, Seb, ayant saturé sa carte mémoire s'en fend d'une autre pour immortaliser notre périple.

Nous comprenons très bien à chaque détour de rue pourquoi cette ville jouie d'une telle réputation, ce n'est pas surfait, aucune autre ville au monde ne ressemble à celle ci... 

Nous sommes sous le charme et déambulons au gré de nos envies, laissants le charme des lieux nous habiter, portés comme sur un petit nuage.

Après de longs tours et détours, visitants plusieurs églises -Santa Maria del Carmelo, Santa Maria Gloriosa dei Frari, San Rocco- , et passans entre autre par le ponte di Rialto nous arrivons sur la place St Marc.

L'endroit est à couper le souffle, ici la grandeur Vénitienne est à son paroxysme. La Basilica di San Marco, la Torre dell'Orologio, le Campanile, le palais des Doges, la Libreria Sansoviniana (là où fut tourné Indiana Jones), les colonnes surmontées pour l'une d'entre elle du célèbre lion vénitien... Les références cinématographiques sont nombreuses et nous en évoquons un certain nombres.

Petite déception passagère le Ponte dei Sospiri est en travaux, et donc recouvert d'échafaudages inesthétiques (et de publicités pour citroën).

Nous continuons encore longuement à déambuler  faisant des photos et films comme des Japonais. Nous prenons le temps de nous poser boire un coup, en contemplant les gondoliers et la multitudes de bateaux aller et venir, nous assistons même à l'intervention d'une ambulance maritime, super, ici tout est fluvial même la police.

Nous rentrons tranquillement, profitant de chaque instant.

La journée se termine à la gare où nous apprenons que le train pour Florence n'est que le lendemain matin à 6h.

Nous passons donc une nouvelle nuit à l'arrache, d'autant que ces incompétents finis ont décidé de fermer la gare, de façon à ce qu'on se les caille bien.

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    [title] => Vingtième jour - Vers Venise
    [content] => [i]Par Anthony[/i]

La nuit à l'aéroport ne se passe pas trop mal même si les bancs, pourtant dépourvus d'accoudoirs, sont inconfortables.

Petit café et nous ne tardons pas a nous présenter au contrôle habituel, car avec mon laisser passez en poche, il faut bien avouer que je ne suis pas trop fier...

Le contrôle de sécurité, comme à chaque fois, est fait en dépit du bon sens, nous avons de quoi étrangler, émasculer, couper, tuer et saucissonner l'intégralité du personnel de bord.

Finalement je passe sans problème avec mon précieux sésame, même au niveau de l'embarquement (sous traité a Olympic airlines, la compagnie national), la nana qui fait le pré-embarquement tique à peine.

[img=https://daryo.com/data/asset/vsu0_XDvv.jpg]

Une fois de plus c'est le bus, mais nous avons la chance d'avoir un temps superbe, ce qui nous permet de profiter de la vue magnifique que nous offre d'abord la côte Croate, avec ses multitudes d'iles, puis nous passons juste en dessus de Venise, splendide. Et pour finir nous survolons la Lombardie et ses montagnes alpines.

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C'est vraiment un très beau vol, et le tout rappelons le, pour la modite somme de 15€ - a oui j'allais oublier, en plus nous sommes en avance, on part avec 5 min et arrivons une demi-heure avant l'horaire prévu (comme dit Rayanair : tulutulut tulu.)
[i]Vidéo externe[/i]
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Seule chose vexante, maintenant que nous sommes arrivés, c'est que l'on doit refaire tout le trajet de la dernière demi-heure pour aller à note objectif: Venise.

Et bien-sûr par la terre ferme, il nous faudra tout l'après-midi. Si seulement on avait eu un parachute...

Petite collation devant la gare et le premier train est en retard, ce qui nous fait louper la correspondance pour les autres, mais bon, on s'en sort pas trop mal et arrivons a Mestre (ville continentale de Venise) dans la soirée.

Petite part de pizza, et à nouveau bus urbain pour rejoindre l'hôtel que Seb nous a dégoteé hors de prix, mais il n'y a pas moins cher sur le marché : on est à Venise.

On s'arrête a l'endroit présumé, et là nous avons un grand moment de solitude, car après avoir parcourus trois kilomètres mini, sur les conseils d'un petit vieux nous sommes dans une impasse, bloqués par un canal, et nous sommes obligé de nous refaire le chemin en sens inverse.

Ça commence à faire beaucoup, Romain souffre toujours de ses pieds, et cette marche inutile ne fait rien pour arranger les choses. Enfin on trouve un pont pour passer ce p...in de canal et énervés on fraude le bus pour revenir en face d'où on était.

Voilà on arrive enfin à l'hôtel, non sans que Seb ai  appelée pour confirmer le lieu,  un peu paumés. Nous nous couchons rapidement, car nous voulons nous lever tôt pour profiter de la journée du lendemain.
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by seb - 2011-10-11 18:01
Par Anthony

La nuit à l'aéroport ne se passe pas trop mal même si les bancs, pourtant dépourvus d'accoudoirs, sont inconfortables.

Petit café et nous ne tardons pas a nous présenter au contrôle habituel, car avec mon laisser passez en poche, il faut bien avouer que je ne suis pas trop fier...

Le contrôle de sécurité, comme à chaque fois, est fait en dépit du bon sens, nous avons de quoi étrangler, émasculer, couper, tuer et saucissonner l'intégralité du personnel de bord.

Finalement je passe sans problème avec mon précieux sésame, même au niveau de l'embarquement (sous traité a Olympic airlines, la compagnie national), la nana qui fait le pré-embarquement tique à peine.



Une fois de plus c'est le bus, mais nous avons la chance d'avoir un temps superbe, ce qui nous permet de profiter de la vue magnifique que nous offre d'abord la côte Croate, avec ses multitudes d'iles, puis nous passons juste en dessus de Venise, splendide. Et pour finir nous survolons la Lombardie et ses montagnes alpines.



C'est vraiment un très beau vol, et le tout rappelons le, pour la modite somme de 15€ - a oui j'allais oublier, en plus nous sommes en avance, on part avec 5 min et arrivons une demi-heure avant l'horaire prévu (comme dit Rayanair : tulutulut tulu.)
Vidéo externe


Seule chose vexante, maintenant que nous sommes arrivés, c'est que l'on doit refaire tout le trajet de la dernière demi-heure pour aller à note objectif: Venise.

Et bien-sûr par la terre ferme, il nous faudra tout l'après-midi. Si seulement on avait eu un parachute...

Petite collation devant la gare et le premier train est en retard, ce qui nous fait louper la correspondance pour les autres, mais bon, on s'en sort pas trop mal et arrivons a Mestre (ville continentale de Venise) dans la soirée.

Petite part de pizza, et à nouveau bus urbain pour rejoindre l'hôtel que Seb nous a dégoteé hors de prix, mais il n'y a pas moins cher sur le marché : on est à Venise.

On s'arrête a l'endroit présumé, et là nous avons un grand moment de solitude, car après avoir parcourus trois kilomètres mini, sur les conseils d'un petit vieux nous sommes dans une impasse, bloqués par un canal, et nous sommes obligé de nous refaire le chemin en sens inverse.

Ça commence à faire beaucoup, Romain souffre toujours de ses pieds, et cette marche inutile ne fait rien pour arranger les choses. Enfin on trouve un pont pour passer ce p...in de canal et énervés on fraude le bus pour revenir en face d'où on était.

Voilà on arrive enfin à l'hôtel, non sans que Seb ai  appelée pour confirmer le lieu,  un peu paumés. Nous nous couchons rapidement, car nous voulons nous lever tôt pour profiter de la journée du lendemain.
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    [title] => Dix-neuvième jour - Thessaloniki airport
    [content] => [i]Par Anthony[/i]

Ce matin nous partons du superbe site des Météores, nous quittons donc Kalambaka par le bus vers onze heures car une fois encore il est moins cher que le train 20€ contre 27.

Le temps de finir les cartes postales, et le bus nous ramène à Trikala où nous étions déjà passé il y a deux jours. 

Courte attente,  puis il nous mène en longeant la côte jusqu'à Thessalonique. En effet notre avion par de la-bas demain vers 9h. Il nous faut bien 3h pour faire cet itinéraire un peu ennuyeux.

Arrivés sur place nous prenons un bus urbain, qui nous permet un arrêt en ville et la liaison pour l'aéroport le tout pour 90 centimes.

Nous profitons rapidement du frond de mer, buvons une biere  et magnons un dernier gyros, malheureusement pas très bon.

Le soleil se couche déjà et ayant compris que la dernière liaison vers l'airport était vers 19h 30 nous reprenons le bus qui nous y conduit.

L'aéroport est petit mais nous avons l'agréable surprise de trouver de l'Internet gratuit, ce qui est assez rare et qui a le mérite d'être souligné, Seb est aux anges...

Autre fait agréable, l'aéroport ne ferme pas la nuit, c'est donc pas trop mal et au chaud que nous y passons la nuit. 

On tue le temps comme on peut, Romain ayant eu la bonne idée d'acheter un bouquin de Sudoku, je lui en taxe quelques un, Seb fait des résumés...

Journée de transport, finalement, pas très palpitante. Nous ne sommes pas forcément mécontents de partir de Grèce, on ne peux pas dire que la population locale se soit montré accueillante, et nous savons qu'en Italie, au moins, nous aurons le droit à deux trois sourires.
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by seb - 2011-10-10 18:01
Par Anthony

Ce matin nous partons du superbe site des Météores, nous quittons donc Kalambaka par le bus vers onze heures car une fois encore il est moins cher que le train 20€ contre 27.

Le temps de finir les cartes postales, et le bus nous ramène à Trikala où nous étions déjà passé il y a deux jours. 

Courte attente,  puis il nous mène en longeant la côte jusqu'à Thessalonique. En effet notre avion par de la-bas demain vers 9h. Il nous faut bien 3h pour faire cet itinéraire un peu ennuyeux.

Arrivés sur place nous prenons un bus urbain, qui nous permet un arrêt en ville et la liaison pour l'aéroport le tout pour 90 centimes.

Nous profitons rapidement du frond de mer, buvons une biere  et magnons un dernier gyros, malheureusement pas très bon.

Le soleil se couche déjà et ayant compris que la dernière liaison vers l'airport était vers 19h 30 nous reprenons le bus qui nous y conduit.

L'aéroport est petit mais nous avons l'agréable surprise de trouver de l'Internet gratuit, ce qui est assez rare et qui a le mérite d'être souligné, Seb est aux anges...

Autre fait agréable, l'aéroport ne ferme pas la nuit, c'est donc pas trop mal et au chaud que nous y passons la nuit. 

On tue le temps comme on peut, Romain ayant eu la bonne idée d'acheter un bouquin de Sudoku, je lui en taxe quelques un, Seb fait des résumés...

Journée de transport, finalement, pas très palpitante. Nous ne sommes pas forcément mécontents de partir de Grèce, on ne peux pas dire que la population locale se soit montré accueillante, et nous savons qu'en Italie, au moins, nous aurons le droit à deux trois sourires.
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    [content] => Des nombreux sites inscrits en Grèce au patrimoine mondial, les [url=http://fr.wikipedia.org/wiki/Monastères_des_Météores]Monastères des Météores[/url] ont la particularité d'être relativement récents (XIVe siècle), par rapport aux autres sites, presque exclusivement antiques.

C'est ce très joli site que nous allons visiter aujourd'hui.

Nous n'avons pas de carte et Romain subit encore les séquelles de sa randonnée d'avant-hier, nous partons juste en reconnaissance.

Pourtant, nous sommes portés par le charme des lieux, et ayant effectué l'ascension vers le premier monastère nous finissons par visiter tout le site, soit douze kilomètres de marche environ.

Je ne peux malheureusement publier qu'une seule photo de mauvaise qualité, mais de nombreuses autres seront ajoutées ultérieurement.
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Nous y passons une grande partie de la journée, puis nous nous occupons des cartes postales et d'imprimer les billets d'avion, avant de prendre un repos bien mérité.


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by seb - 2011-10-09 18:01
Des nombreux sites inscrits en Grèce au patrimoine mondial, les Monastères des Météores ont la particularité d'être relativement récents (XIVe siècle), par rapport aux autres sites, presque exclusivement antiques.

C'est ce très joli site que nous allons visiter aujourd'hui.

Nous n'avons pas de carte et Romain subit encore les séquelles de sa randonnée d'avant-hier, nous partons juste en reconnaissance.

Pourtant, nous sommes portés par le charme des lieux, et ayant effectué l'ascension vers le premier monastère nous finissons par visiter tout le site, soit douze kilomètres de marche environ.

Je ne peux malheureusement publier qu'une seule photo de mauvaise qualité, mais de nombreuses autres seront ajoutées ultérieurement.


Nous y passons une grande partie de la journée, puis nous nous occupons des cartes postales et d'imprimer les billets d'avion, avant de prendre un repos bien mérité.

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    [content] => Paradoxalement, ce petit marbre n'était pas si inconfortable, et je me réveille alors que le jour est bien levé, la sieste aura duré quatre heures.

Aujourd'hui finies les plaisanteries, nous partons pour Kalambaka et ses météores via les transports en commun.

Le premier bus démarre à onze heures, et le temps d'un café nous sommes sur le pied de guerre pour quitter cette bourgade miteuse. Il y a ici comme un bug dans la matrice, les gens sont étranges, comme consanguins, les mêmes voitures passent dans le même sens à intervalles réguliers, une ville jumelée avec [url=http://www.daryo.com/seb/element/2043,sixieme-jour-trajet-vers-istanbul]Dimitrovgrad[/url], peut-être.

À Lamia nous tentons bien de prendre le train, mais une nouvelle fois ce dernier est plus lent et plus cher que le bus. Absence de concurrence, tutelle étatique, je comprend que le pays soit en difficultés.

Les chinois ont pour projet de reprendre la gestion des chemins de fer grecs, si tel est le cas, gageons qu'il ne faudra pas un an pour que la fréquence des trains augmente et pour que les prix baissent.

Les bus s'enchainent et vers 16:30 nous sommes arrivés à destination. Romain nous suit, quatre heures derrière, et nous l'informons par SMS de la marche à suivre et des correspondances qu'il devra prendre.

Arrivés à Kalampaka, le froid nous saisi, environ douze degrés, ce qui met la recherche d'un hôtel en première position de nos priorités.

Tout comme à Delphes, ce site touristique est déserté, la saison étant finie, la négociation de l'hôtel se passe plutôt bien. Nous avons un toit pour les deux prochains jours.

Romain arrive, nous sommes heureux d'être à nouveau réunis. Nous dinons de quelques souvlakis et allons dormir.
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by seb - 2011-10-08 18:01
Paradoxalement, ce petit marbre n'était pas si inconfortable, et je me réveille alors que le jour est bien levé, la sieste aura duré quatre heures.

Aujourd'hui finies les plaisanteries, nous partons pour Kalambaka et ses météores via les transports en commun.

Le premier bus démarre à onze heures, et le temps d'un café nous sommes sur le pied de guerre pour quitter cette bourgade miteuse. Il y a ici comme un bug dans la matrice, les gens sont étranges, comme consanguins, les mêmes voitures passent dans le même sens à intervalles réguliers, une ville jumelée avec Dimitrovgrad, peut-être.

À Lamia nous tentons bien de prendre le train, mais une nouvelle fois ce dernier est plus lent et plus cher que le bus. Absence de concurrence, tutelle étatique, je comprend que le pays soit en difficultés.

Les chinois ont pour projet de reprendre la gestion des chemins de fer grecs, si tel est le cas, gageons qu'il ne faudra pas un an pour que la fréquence des trains augmente et pour que les prix baissent.

Les bus s'enchainent et vers 16:30 nous sommes arrivés à destination. Romain nous suit, quatre heures derrière, et nous l'informons par SMS de la marche à suivre et des correspondances qu'il devra prendre.

Arrivés à Kalampaka, le froid nous saisi, environ douze degrés, ce qui met la recherche d'un hôtel en première position de nos priorités.

Tout comme à Delphes, ce site touristique est déserté, la saison étant finie, la négociation de l'hôtel se passe plutôt bien. Nous avons un toit pour les deux prochains jours.

Romain arrive, nous sommes heureux d'être à nouveau réunis. Nous dinons de quelques souvlakis et allons dormir.
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    [content] => [i]Par Anthony, et Seb[/i]

Ce matin nous allons donc visiter la majeure partie du site de Delphes, après un levé pas trop tardif et un petit café nous sommes très agréablement surpris de constater que pour le weekend, l'entrée du site est gratuite, ainsi que le musée, que nous n'aurions surement pas visité.
 
Le site est relativement vaste mais l'ensemble est plutôt mal conservé. Le cancer qui ronge les monuments grecs reste le tremblement de terre, responsable de la plupart des dommages sur les sites antiques.

L'amphithéâtre et le grand stadium (qui avait lui aussi été payé par ce brave Hérodes Atticus) sont en bon état relatif grâce à des actions de mécénat.

Le temple d'Apollon, qui abritait le fameux oracle de Delphes, la Tholos et la plupart des monuments ne sont matérialisés que par quelques colonnes ou sous-bassement.

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Le site est cependant très intéressant, et des dessins et maquettes nous permettent de mieux nous rendre compte de la magnificence des lieux à leur apogée.

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Nous y passons la matinée et clôturons par le musée où de nombreuses pièces antiques sont exposées, statues, bas-reliefs, colonnes, peintures et de nombreuses pierres de marbres gravées et sculptés... Very interesting.

Cela étant, la scénographie et l'état relativement mauvais des pièces exposées en font un musée plutôt mineur, comparé -par exemple- au département des antiquités grecques du Louvre. Après tout, les anglais et les français s'étant servi les premiers, ils ont pris les pièces les plus intéressantes.

Après cela nous organisons notre plan machiavélique autour d'une petite bière : nous voulons désormais rejoindre le site des météores en stop pour économiser un peu de transport et de plus nous avons du temps d'avance.

Il s'agit d'une expérience, pas d'une nécessité, nous pouvons admettre un éventuel échec.

Et cet échec sera cuisant.

Nous nous séparons en nous donnant rendez-vous le soir (optimisme à la limite de la stupidité) à Kalampaka, 200km plus loin.

Le début se déroule au mieux, Seb et moi sommes rapidement pris par un couple de jeunes grecs puis par un pompier qui nous font faire chacun un bond de dix kilomètres.

Romain étant resté en arrière, nous atterrissons donc tous deux dans la funeste ville d'Amfissa.

Le temple d'Apollon à Delphes avait en son centre une fissure plongeant dans les entrailles de la terre, d'où remontait du souffre qui faisait rentrer la pythie (l'oracle) en transe. Les anciens en avaient déduit que le monde avait Delphes pour nombril.

Ils avaient oublié qu'à vingt kilomètres de là le monde avait aussi Amfissa pour Rectum.

Nous nous retrouvons donc sur la route principale en direction de Lamia, bourgade intermédiaire entre ici et les météores, mais las ! Aucune voiture ne daignera nous prendre à son bord. Une heure sans aucune touche. Au loin une silhouette s'approche lentement, un châle noir flottant au vent, c'est Romain.

Il s'est fait prendre en stop par deux voitures lui aussi. Le premier lui a proposé le gite, le couvert, et de l'emmener à Lamia le lendemain, le second, un boulanger, lui a donné toute une cargaison de pâtisseries. Sa bonne étoile lui a encore été favorable.

Il assiste avec nous, impuissant, au balais des voitures (rares) qui passent en trombe, et décide de rentrer à pieds à Delphes. Ce n'est que folie.

Il s'éloigne lentement, comme il est arrivé, Seb et moi nous faisons prendre en stop une nouvelle fois, pour deux kilomètres cette fois-ci. On nous dépose à un croisement, au milieu de nulle part, à coté d'un petit village miteux.

Nous persistons encore, mais la nuit tombe, et c'est avec amertume que nous constatons l'immensité de notre échec.

Un vieux grec nous ramène à Amfissa, où, après avoir erré dans la ville, relativement festive en ce samedi soir nous passons la nuit, comme des chiens, sous la pluie, avec pour seul abri la terrasse d'un imprimeur.

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Pendant ce temps là, Romain, n'écoutant que son courage, aura parcouru près de 25 km à pied et arrivera à Delphes après cinq heures d'efforts, et prendra une chambre d'hôtel hors de prix pour y jouir d'un repos bien mérité.

Une journée qui avait bien commencé, une visite enrichissante, une expérience qui a mal tournée. Comme d'habitude ça aurait pu être encore pire. Les grecs conduisent vite, et mal.

Nous sommes séparés mais nous gardons contact avec Romain par SMS.

Sur notre marbre, la pluie battant dehors, nous excluons le stop des moyens admissibles de déplacement.
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by seb - 2011-10-07 18:01
Par Anthony, et Seb

Ce matin nous allons donc visiter la majeure partie du site de Delphes, après un levé pas trop tardif et un petit café nous sommes très agréablement surpris de constater que pour le weekend, l'entrée du site est gratuite, ainsi que le musée, que nous n'aurions surement pas visité.
 
Le site est relativement vaste mais l'ensemble est plutôt mal conservé. Le cancer qui ronge les monuments grecs reste le tremblement de terre, responsable de la plupart des dommages sur les sites antiques.

L'amphithéâtre et le grand stadium (qui avait lui aussi été payé par ce brave Hérodes Atticus) sont en bon état relatif grâce à des actions de mécénat.

Le temple d'Apollon, qui abritait le fameux oracle de Delphes, la Tholos et la plupart des monuments ne sont matérialisés que par quelques colonnes ou sous-bassement.



Le site est cependant très intéressant, et des dessins et maquettes nous permettent de mieux nous rendre compte de la magnificence des lieux à leur apogée.



Nous y passons la matinée et clôturons par le musée où de nombreuses pièces antiques sont exposées, statues, bas-reliefs, colonnes, peintures et de nombreuses pierres de marbres gravées et sculptés... Very interesting.

Cela étant, la scénographie et l'état relativement mauvais des pièces exposées en font un musée plutôt mineur, comparé -par exemple- au département des antiquités grecques du Louvre. Après tout, les anglais et les français s'étant servi les premiers, ils ont pris les pièces les plus intéressantes.

Après cela nous organisons notre plan machiavélique autour d'une petite bière : nous voulons désormais rejoindre le site des météores en stop pour économiser un peu de transport et de plus nous avons du temps d'avance.

Il s'agit d'une expérience, pas d'une nécessité, nous pouvons admettre un éventuel échec.

Et cet échec sera cuisant.

Nous nous séparons en nous donnant rendez-vous le soir (optimisme à la limite de la stupidité) à Kalampaka, 200km plus loin.

Le début se déroule au mieux, Seb et moi sommes rapidement pris par un couple de jeunes grecs puis par un pompier qui nous font faire chacun un bond de dix kilomètres.

Romain étant resté en arrière, nous atterrissons donc tous deux dans la funeste ville d'Amfissa.

Le temple d'Apollon à Delphes avait en son centre une fissure plongeant dans les entrailles de la terre, d'où remontait du souffre qui faisait rentrer la pythie (l'oracle) en transe. Les anciens en avaient déduit que le monde avait Delphes pour nombril.

Ils avaient oublié qu'à vingt kilomètres de là le monde avait aussi Amfissa pour Rectum.

Nous nous retrouvons donc sur la route principale en direction de Lamia, bourgade intermédiaire entre ici et les météores, mais las ! Aucune voiture ne daignera nous prendre à son bord. Une heure sans aucune touche. Au loin une silhouette s'approche lentement, un châle noir flottant au vent, c'est Romain.

Il s'est fait prendre en stop par deux voitures lui aussi. Le premier lui a proposé le gite, le couvert, et de l'emmener à Lamia le lendemain, le second, un boulanger, lui a donné toute une cargaison de pâtisseries. Sa bonne étoile lui a encore été favorable.

Il assiste avec nous, impuissant, au balais des voitures (rares) qui passent en trombe, et décide de rentrer à pieds à Delphes. Ce n'est que folie.

Il s'éloigne lentement, comme il est arrivé, Seb et moi nous faisons prendre en stop une nouvelle fois, pour deux kilomètres cette fois-ci. On nous dépose à un croisement, au milieu de nulle part, à coté d'un petit village miteux.

Nous persistons encore, mais la nuit tombe, et c'est avec amertume que nous constatons l'immensité de notre échec.

Un vieux grec nous ramène à Amfissa, où, après avoir erré dans la ville, relativement festive en ce samedi soir nous passons la nuit, comme des chiens, sous la pluie, avec pour seul abri la terrasse d'un imprimeur.



Pendant ce temps là, Romain, n'écoutant que son courage, aura parcouru près de 25 km à pied et arrivera à Delphes après cinq heures d'efforts, et prendra une chambre d'hôtel hors de prix pour y jouir d'un repos bien mérité.

Une journée qui avait bien commencé, une visite enrichissante, une expérience qui a mal tournée. Comme d'habitude ça aurait pu être encore pire. Les grecs conduisent vite, et mal.

Nous sommes séparés mais nous gardons contact avec Romain par SMS.

Sur notre marbre, la pluie battant dehors, nous excluons le stop des moyens admissibles de déplacement.
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    [content] => [i]Par Anthony[/i]

Aujourd'hui nous ne partons pas trop tard de notre hostel  direction la gare grâce à notre ticket de métro valable 24h.

Mais arrivé à celle ci, la compagnie ferroviaire nous propose un prix indécent pour nous mener non loin de Delphes, le train n'y allant pas directement.

Sur ce coup nous nous dirigeons vers la gare routière qui se situe deux kilomètres plus loin. Le métro n'y allant pas se sont nos "legs" qui nous y emmènent.

Petite attente et départ pour Delphes, 2h de bus plus tard nous sommes sur site. La bourgade est minuscule et presque déserte, en effet le seul point d'intérêt réside dans les vestiges du temple d'Apollon. C'est cependant un charmant village perdu dans la montagne et qui domine la côte, on aperçoit la mer au loin.

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Dans ces condition nous n'avons pas de mal à trouver un hôtel que Seb nous négocie a 25€ pour trois, ce qui est notre meilleur tarot depuis le départ.

Nous occupons la fin de l'après midi à visiter une partie du site, le gymnasium, la piste d'entrainement et le temple d'Athena, l'entrée étant gratuite.

Le soir nous mangeons des Giros où nous avons l'heureuse surprise d'avoir des frites maison, ce que nous apprécions au plus haut point.

Pour finir nous faisons quelques résumés et planifions la suite des événements.
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by seb - 2011-10-06 18:01
Par Anthony

Aujourd'hui nous ne partons pas trop tard de notre hostel  direction la gare grâce à notre ticket de métro valable 24h.

Mais arrivé à celle ci, la compagnie ferroviaire nous propose un prix indécent pour nous mener non loin de Delphes, le train n'y allant pas directement.

Sur ce coup nous nous dirigeons vers la gare routière qui se situe deux kilomètres plus loin. Le métro n'y allant pas se sont nos "legs" qui nous y emmènent.

Petite attente et départ pour Delphes, 2h de bus plus tard nous sommes sur site. La bourgade est minuscule et presque déserte, en effet le seul point d'intérêt réside dans les vestiges du temple d'Apollon. C'est cependant un charmant village perdu dans la montagne et qui domine la côte, on aperçoit la mer au loin.



Dans ces condition nous n'avons pas de mal à trouver un hôtel que Seb nous négocie a 25€ pour trois, ce qui est notre meilleur tarot depuis le départ.

Nous occupons la fin de l'après midi à visiter une partie du site, le gymnasium, la piste d'entrainement et le temple d'Athena, l'entrée étant gratuite.

Le soir nous mangeons des Giros où nous avons l'heureuse surprise d'avoir des frites maison, ce que nous apprécions au plus haut point.

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    [content] => Nous y sommes, un moment qui restera gravé dans nos mémoires, [url=http://fr.wikipedia.org/wiki/Acropole_d%27Athènes]l'Acropolis[/url].

Nous y arrivons vers midi, je rend mes camarades jaloux en obtenant une entrée gratuite grâce à ma carte d'étudiant de 2009, alors qu'eux payent leur pass douze euros. Je suis un gros rat, j'assume.

Dés [url=http://fr.wikipedia.org/wiki/Odéon_d%27Hérode_Atticus]l'amphithéâtre d'Herodes Atticus[/url], nous rentrons tous en transe, le poids de l'histoire nous écrase dès le passage des [url=http://fr.wikipedia.org/wiki/Propylées_(acropole_d%27Athènes)]propylées[/url], nous faisons abstractions des centaines de touristes qui nous entourent, et qui sont comme nous subjugués par la solennité des lieux. Nous n'accordons pas plus d'importance aux grues, échafaudages et ouvriers qui s'affairent sur ce qui est une chantier perpétuel de rénovation et de fouilles.
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Durant plus d'une heure nous remplissons nos têtes et nos cartes mémoires de souvenirs. Le soleil est de la partie, les monuments magnifiques, la vue sublime.

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Quelques photos souvenir... (photo-bateau, photo-pipeau, [i]you name it[/i])

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La visite continue sur d'autres sites, forcément moins impressionnants, comme [url=http://fr.wikipedia.org/wiki/Olympiéion_(Athènes)]l'Olympiéion[/url], au pied de l'acropole.
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Une longue liste de visites, et près de sept kilomètres de marche plus tard, et nous nous posons au sommet de la colline de Filopappos, a la même hauteur et en face de l'Acropole, ou nous jouissons d'une vue à 360 degrés jusqu'aux limites d'Athènes.

Vue de l'amphithéâtre d'Herodes Atticus:

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Je ne peux pas parler de cet endroit sans évoquer le concert, en 1993, de l'artiste new-age grec Yanni, mondialement connu pour ses créations musicales lors de la plupart des cérémonie d'ouverture de JO, et qui avec son Live at the Acropolis signa la deuxième meilleure vente de music video de tous les temps après Michael Jackson. Petite vidéo, donc (avec la moustache)

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Le reste de la journée n'est qu'anecdotique, mais bon, ce blog est pour mes archives, le lecteur est secondaire et il peut arrêter sa lecture quand il le souhaite.
 
Nous rentrons à l'hôtel, je casse ma sandale, m'achète un lecteur de carte mémoire qui ne fonctionne pas. Je profite des chaussures de Romain et de ses relations dans la pègre d'Athènes pour aller faire changer le lecteur défectueux auprès du fumier de pakistanais qui me l'a vendu. Je répare ma chaussure, je me gave de Gyros. Et je vais dormir.

Je ne peux finir cette journée [url=http://www.daryo.com/seb/element/2062,quatorzieme-jour-aparte]sans un petit aparté.[/url]
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by seb - 2011-10-05 18:01
Nous y sommes, un moment qui restera gravé dans nos mémoires, l'Acropolis.

Nous y arrivons vers midi, je rend mes camarades jaloux en obtenant une entrée gratuite grâce à ma carte d'étudiant de 2009, alors qu'eux payent leur pass douze euros. Je suis un gros rat, j'assume.

Dés l'amphithéâtre d'Herodes Atticus, nous rentrons tous en transe, le poids de l'histoire nous écrase dès le passage des propylées, nous faisons abstractions des centaines de touristes qui nous entourent, et qui sont comme nous subjugués par la solennité des lieux. Nous n'accordons pas plus d'importance aux grues, échafaudages et ouvriers qui s'affairent sur ce qui est une chantier perpétuel de rénovation et de fouilles.


Durant plus d'une heure nous remplissons nos têtes et nos cartes mémoires de souvenirs. Le soleil est de la partie, les monuments magnifiques, la vue sublime.







Quelques photos souvenir... (photo-bateau, photo-pipeau, you name it)





La visite continue sur d'autres sites, forcément moins impressionnants, comme l'Olympiéion, au pied de l'acropole.


Une longue liste de visites, et près de sept kilomètres de marche plus tard, et nous nous posons au sommet de la colline de Filopappos, a la même hauteur et en face de l'Acropole, ou nous jouissons d'une vue à 360 degrés jusqu'aux limites d'Athènes.

Vue de l'amphithéâtre d'Herodes Atticus:



Je ne peux pas parler de cet endroit sans évoquer le concert, en 1993, de l'artiste new-age grec Yanni, mondialement connu pour ses créations musicales lors de la plupart des cérémonie d'ouverture de JO, et qui avec son Live at the Acropolis signa la deuxième meilleure vente de music video de tous les temps après Michael Jackson. Petite vidéo, donc (avec la moustache)



Le reste de la journée n'est qu'anecdotique, mais bon, ce blog est pour mes archives, le lecteur est secondaire et il peut arrêter sa lecture quand il le souhaite.
 
Nous rentrons à l'hôtel, je casse ma sandale, m'achète un lecteur de carte mémoire qui ne fonctionne pas. Je profite des chaussures de Romain et de ses relations dans la pègre d'Athènes pour aller faire changer le lecteur défectueux auprès du fumier de pakistanais qui me l'a vendu. Je répare ma chaussure, je me gave de Gyros. Et je vais dormir.

Je ne peux finir cette journée sans un petit aparté.
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    [content] => Aussitôt levé nous attends une tache administrative de la plus haute importance: aller au consulat français  pour qu'Anthony y obtienne un laissez-passer officiel qui lui permettra de prendre nos deux prochains vols.

Nous nous sommes déjà renseignés par téléphone hier, et cette formalité ne nécessite pas énormément de pièces:
• Une attestation de la police locale concernant la perte ou le vol des pièces d'identité.
• Une photo d'identité
• Le témoignage d'une personne concernant la nationalité française du demandeur (ce qui sera mon rôle)
• 23€ ( oui la France aussi a des problèmes d'argent)

En chemin pour le consulat français nous passons en ce jour de grève générale par le quartier où sont situés le parlement et le siège du gouvernement grec.

Des centaines de policiers se préparent dans les avenues vides à l'arrivée des manifestants. Dernières mises en place de barrières métalliques, ajustement des gilets pare-balles, fermeture des jardins publics... Nous n'avons pas vu les images, mais il y a du avoir un peu d'animation.

Nous atteignons le consulat, bien distinct de l'ambassade,  et le fonctionnaire présent nous fournit le précieux sésame sans trop de difficultés.

À la sortie, nous tombons quasi immédiatement sur le vieux [url=http://fr.wikipedia.org/wiki/Stade_panathénaïque]stade panathénaïque[/url], qui fut le cadre des premiers jeux olympiques de l'ère moderne, en  1896, à l'occasion desquels il fut largement rénové. Le premier stade à cet emplacement datant de -350.
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Romain nous rejoint, et nous partons vers l'acropole, que nous ne pourrons pas visiter aujourd'hui, toujours en raison de ce mouvement social.

Nous faisons une petite balade dans ce quartier qui abrite l'essentiel des vestiges antiques présents à Athènes, cela nous donne l'eau à la bouche.

Quelques stations de métro plus tard nous sommes rentrés, et nous esquissons un semblant d'emploi du temps pour les onze jours qui nous restent.
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by seb - 2011-10-04 18:01
Aussitôt levé nous attends une tache administrative de la plus haute importance: aller au consulat français  pour qu'Anthony y obtienne un laissez-passer officiel qui lui permettra de prendre nos deux prochains vols.

Nous nous sommes déjà renseignés par téléphone hier, et cette formalité ne nécessite pas énormément de pièces:
• Une attestation de la police locale concernant la perte ou le vol des pièces d'identité.
• Une photo d'identité
• Le témoignage d'une personne concernant la nationalité française du demandeur (ce qui sera mon rôle)
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En chemin pour le consulat français nous passons en ce jour de grève générale par le quartier où sont situés le parlement et le siège du gouvernement grec.

Des centaines de policiers se préparent dans les avenues vides à l'arrivée des manifestants. Dernières mises en place de barrières métalliques, ajustement des gilets pare-balles, fermeture des jardins publics... Nous n'avons pas vu les images, mais il y a du avoir un peu d'animation.

Nous atteignons le consulat, bien distinct de l'ambassade,  et le fonctionnaire présent nous fournit le précieux sésame sans trop de difficultés.

À la sortie, nous tombons quasi immédiatement sur le vieux stade panathénaïque, qui fut le cadre des premiers jeux olympiques de l'ère moderne, en  1896, à l'occasion desquels il fut largement rénové. Le premier stade à cet emplacement datant de -350.


Romain nous rejoint, et nous partons vers l'acropole, que nous ne pourrons pas visiter aujourd'hui, toujours en raison de ce mouvement social.

Nous faisons une petite balade dans ce quartier qui abrite l'essentiel des vestiges antiques présents à Athènes, cela nous donne l'eau à la bouche.

Quelques stations de métro plus tard nous sommes rentrés, et nous esquissons un semblant d'emploi du temps pour les onze jours qui nous restent.
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    [content] => Nous arrivons au Pirèe à 7:00, comme convenu. Le bateau a été très vite.

Le port est un immense parking pour navires de croisière. Le notre qui compte pourtant trois étage parait ridicule à coté de certains navires où nous pouvons compter jusqu'à quinze rangées de hublots.

L'heure n'est pourtant pas à la contemplation, nous sommes véritablement épuisés, nous avons très peu dormi ces derniers jours, et il nous faut trouver un lieu de repos au plus vite.

Le temps de prendre un café au troquet le plus proche, s'ensuit une vingtaine de minutes de marche pour, grâce à du wifi croisé en route, trouver la station de métro la plus proche.

Nous allons au plus proche du centre d'Athènes, station Omonia, et nous mettons en quête d'un hôtel.

La fatigue et la pollution ne nous aident pas à nous sentir mieux, et, toujours grâce à une borne wifi non protégée croisée dans la rue, nous trouvons relativement vite un hébergement plutôt bien situé.

Nous nous jetons dans nos lits, je m'endort bien vite vers 11:00 pour véritablement me lever à 17.

Là nous allons avec Anthony au commissariat de quartier, déclarer la perte de son portefeuille, ces derniers nous envoient... au Pirée, à la police portuaire.

Le temps de trouver le bon bureau, les formalités se déroulent sans trop de problème, en Anglais, et nous pouvons rentrer.

Romain a trouvé des camarades Algériens, qui font du "Business". On passe une bonne soirée avec eux.
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by seb - 2011-10-03 18:01
Nous arrivons au Pirèe à 7:00, comme convenu. Le bateau a été très vite.

Le port est un immense parking pour navires de croisière. Le notre qui compte pourtant trois étage parait ridicule à coté de certains navires où nous pouvons compter jusqu'à quinze rangées de hublots.

L'heure n'est pourtant pas à la contemplation, nous sommes véritablement épuisés, nous avons très peu dormi ces derniers jours, et il nous faut trouver un lieu de repos au plus vite.

Le temps de prendre un café au troquet le plus proche, s'ensuit une vingtaine de minutes de marche pour, grâce à du wifi croisé en route, trouver la station de métro la plus proche.

Nous allons au plus proche du centre d'Athènes, station Omonia, et nous mettons en quête d'un hôtel.

La fatigue et la pollution ne nous aident pas à nous sentir mieux, et, toujours grâce à une borne wifi non protégée croisée dans la rue, nous trouvons relativement vite un hébergement plutôt bien situé.

Nous nous jetons dans nos lits, je m'endort bien vite vers 11:00 pour véritablement me lever à 17.

Là nous allons avec Anthony au commissariat de quartier, déclarer la perte de son portefeuille, ces derniers nous envoient... au Pirée, à la police portuaire.

Le temps de trouver le bon bureau, les formalités se déroulent sans trop de problème, en Anglais, et nous pouvons rentrer.

Romain a trouvé des camarades Algériens, qui font du "Business". On passe une bonne soirée avec eux.
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    [title] => Nouveau pays, nouveau rythme
    [content] => Difficile de se concentrer quand on est en vadrouille, et durant cette semaine j'ai donc laissé largement les commandes de ce blog à mon camarade Anthony, dont je salut au passage la motivation tant que le style. Il a eu l'art de retranscrire notre périple sans en faire des caisses, en restant concis, et sans faire l'impasse sur l'essentiel.

Si vous suivez la progression en temps réel vous constaterez que nous sommes actuellement dans la jolie ville turque de Çesme, de laquelle nous pouvons voir, à quelques encablures l'île grecque de Chios, qui nous nargue depuis hier soir.
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Malgré une belle journée de transport hier, nous avons loupé le dernier bateau pour cette île d'où nous comptons prendre le prochain ferry pour Athènes. Nous devrions y arriver demain matin.

Il y a un certain retard dans nos comptes-rendus, trois jours je crois, et nous le comblerons dés que possible.

La dernière semaine a été l'occasion pour nous d'une promenade à la japonaise, nous avons été très vite, sommes passés à côté de plein de choses, mais nous avons tout de même eu l'opportunité d'en tirer le meilleur et de visiter des endroits splendides et chargés d'histoire.

Question déplacement et hébergement, tout comme pour la rédaction de ce blog, mon bon vieux et fidèle iPhone nous a une fois de plus été bien utile.

Dans les dix jours qui viennent, la Grèce, rien que la Grèce, et nous allons enfin nous payer le luxe de prendre notre temps.
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by seb - 2011-10-03 09:01
Difficile de se concentrer quand on est en vadrouille, et durant cette semaine j'ai donc laissé largement les commandes de ce blog à mon camarade Anthony, dont je salut au passage la motivation tant que le style. Il a eu l'art de retranscrire notre périple sans en faire des caisses, en restant concis, et sans faire l'impasse sur l'essentiel.

Si vous suivez la progression en temps réel vous constaterez que nous sommes actuellement dans la jolie ville turque de Çesme, de laquelle nous pouvons voir, à quelques encablures l'île grecque de Chios, qui nous nargue depuis hier soir.


Malgré une belle journée de transport hier, nous avons loupé le dernier bateau pour cette île d'où nous comptons prendre le prochain ferry pour Athènes. Nous devrions y arriver demain matin.

Il y a un certain retard dans nos comptes-rendus, trois jours je crois, et nous le comblerons dés que possible.

La dernière semaine a été l'occasion pour nous d'une promenade à la japonaise, nous avons été très vite, sommes passés à côté de plein de choses, mais nous avons tout de même eu l'opportunité d'en tirer le meilleur et de visiter des endroits splendides et chargés d'histoire.

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    [title] => Onziéme jour - Trajet vers Athènes (Deuxiéme Partie)
    [content] => [i]Par Anthony et Seb
Images à venir[/i] 

Nous nous réveillons sur la plage après une nuit assez froide. Le temps de se faire un café et nous cherchons désespérément un ferry matinal pour Chios. Il n'y en a pas le Lundi matin, ce qui tombe mal, le prochain est à 18h, ça devrait nous permettre de chopper le bateau pour le Pirée.

Nous payons le tarif exorbitant -c'est souvent le cas quand il n'y a pas de concurrence-  pour un navire à 18h. 

Une belle journée d'attente a Cesme, avec visite de la ville, Romain nous improvise un bon pique-nique, sieste et baignade nous occupent pour tuer le temps.

La journée se passe, rapidement, et nous sommes vite à l'embarcadère, une fois passé les contrôles d'immigration.

Quelques courses au duty free et nous embarquons, dans l'un des deux ferrys en partance.

Car si il n'y a qu'un seul départ en ce lundi, la liaison est néanmoins assurée par deux bateaux, l'un grec et l'autre turc. Les deux capitaines, bon-enfants, font la course jusqu'à Chios, et le grec parti bien derrière nous met 5 minutes dans la vue.

Aussitôt à Chios nous prenons nos billets pour le prochain ferry vers Athènes/Le Pirée.

Anthony perd son portefeuille dans le port de Chios, il est bien énervé, et nous devons lui racheter un ticket.

Heureusement il n'y a pas de contrôle d'identité à l'entrée du bateau. Nous essayons de dormir, c'est notre troisième nuit d'arrache.
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À titre indicatif et pour mes archives, voici les horaires de ce trajet:
07:00 Istanbul, Yenikapi Pier
-> Compagnie IDO, 36 TRY
09:10 Bandirma Port
10:15 Bandirma Station
-> TCDD (chemins de fer turcs) 20 TRY
16:20 Izmir central
18:00 Izmir Gare routière
-> Bus, 12 TRY
19:30 Çesme
18:00 (J+1) Çesme port
-> ERTURK lines, 10€
19:20 Chios
00:30 (J+2) Chios
-> Hellenic seaways, 31,5 €
07:00 Piraeus
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by seb - 2011-10-02 18:01
Par Anthony et Seb
Images à venir
 

Nous nous réveillons sur la plage après une nuit assez froide. Le temps de se faire un café et nous cherchons désespérément un ferry matinal pour Chios. Il n'y en a pas le Lundi matin, ce qui tombe mal, le prochain est à 18h, ça devrait nous permettre de chopper le bateau pour le Pirée.

Nous payons le tarif exorbitant -c'est souvent le cas quand il n'y a pas de concurrence-  pour un navire à 18h. 

Une belle journée d'attente a Cesme, avec visite de la ville, Romain nous improvise un bon pique-nique, sieste et baignade nous occupent pour tuer le temps.

La journée se passe, rapidement, et nous sommes vite à l'embarcadère, une fois passé les contrôles d'immigration.

Quelques courses au duty free et nous embarquons, dans l'un des deux ferrys en partance.

Car si il n'y a qu'un seul départ en ce lundi, la liaison est néanmoins assurée par deux bateaux, l'un grec et l'autre turc. Les deux capitaines, bon-enfants, font la course jusqu'à Chios, et le grec parti bien derrière nous met 5 minutes dans la vue.

Aussitôt à Chios nous prenons nos billets pour le prochain ferry vers Athènes/Le Pirée.

Anthony perd son portefeuille dans le port de Chios, il est bien énervé, et nous devons lui racheter un ticket.

Heureusement il n'y a pas de contrôle d'identité à l'entrée du bateau. Nous essayons de dormir, c'est notre troisième nuit d'arrache.


À titre indicatif et pour mes archives, voici les horaires de ce trajet:
07:00 Istanbul, Yenikapi Pier
-> Compagnie IDO, 36 TRY
09:10 Bandirma Port
10:15 Bandirma Station
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16:20 Izmir central
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    [title] => Dixiéme jour - Trajet vers Athènes (Premiére Partie)
    [content] => [i]Par Anthony et Seb[/i] 

Levés aux aurores -5h- ce matin pour une grosse journée de transport, objectif : Athènes.

La journée commence à peine et déjà les ennuis, le tram qui doit nous conduire à l'embarcadère de Yenikapi, à 5km ne circule pas avant 6h 30 car nous sommes dimanche. Notre bateau étant à 7:00, et en correspondance avec le train de l'autre côté de la mer de Marmara, nous ne pouvons pas nous permettre de le louper.

Après avoir attendu le dernier moment, nous nous résignons a prendre un taksi qui nous sauve la mise et ne nous prend que 12 TL, ce qui est raisonnable.

Nous somme donc juste à l'heure pour prendre un ferry très rapide qui va nous emmener à Bandirma, nous évitons donc un grand détour en franchissant la mer de Marmara.
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En deux heures nous sommes rendus. Ici l'efficacité est d'actualité, la gare est sur le quai et nous avons le temps de prendre un café, avant d'embarquer dans le train pour Izmir.

Six heures de trajet sans problème, si ce n'est un léger retard, un jeune Turc bien compétent nous indique une gare routière où nous pourrons rejoindre la ville portuaire de Çesme.

Nous sommes ainsi sur les bords de la mer Egée, destination que nous avions initialement décidé de rejoindre en stop, mais vu le timing et la grandeur de la ville, nous abdiquons. Le bus est à 18h et à 19h 30 nous sommes sur site.

Et là après une journée bien efficace -taksi, bateau, train, bus- nous constatons la triste réalité: le dernier bateau en partance pour Chios à levé l'encre a 18h : c'est fini, nous n'atteindrons pas la Grèce aujourd'hui.

Nous buvons une bière et allons nous coucher sur la plage toute proche, la nuit est très fraîche et nous nous réveillons a plusieurs reprises.
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by seb - 2011-10-01 18:01
Par Anthony et Seb 

Levés aux aurores -5h- ce matin pour une grosse journée de transport, objectif : Athènes.

La journée commence à peine et déjà les ennuis, le tram qui doit nous conduire à l'embarcadère de Yenikapi, à 5km ne circule pas avant 6h 30 car nous sommes dimanche. Notre bateau étant à 7:00, et en correspondance avec le train de l'autre côté de la mer de Marmara, nous ne pouvons pas nous permettre de le louper.

Après avoir attendu le dernier moment, nous nous résignons a prendre un taksi qui nous sauve la mise et ne nous prend que 12 TL, ce qui est raisonnable.

Nous somme donc juste à l'heure pour prendre un ferry très rapide qui va nous emmener à Bandirma, nous évitons donc un grand détour en franchissant la mer de Marmara.


En deux heures nous sommes rendus. Ici l'efficacité est d'actualité, la gare est sur le quai et nous avons le temps de prendre un café, avant d'embarquer dans le train pour Izmir.

Six heures de trajet sans problème, si ce n'est un léger retard, un jeune Turc bien compétent nous indique une gare routière où nous pourrons rejoindre la ville portuaire de Çesme.

Nous sommes ainsi sur les bords de la mer Egée, destination que nous avions initialement décidé de rejoindre en stop, mais vu le timing et la grandeur de la ville, nous abdiquons. Le bus est à 18h et à 19h 30 nous sommes sur site.

Et là après une journée bien efficace -taksi, bateau, train, bus- nous constatons la triste réalité: le dernier bateau en partance pour Chios à levé l'encre a 18h : c'est fini, nous n'atteindrons pas la Grèce aujourd'hui.

Nous buvons une bière et allons nous coucher sur la plage toute proche, la nuit est très fraîche et nous nous réveillons a plusieurs reprises.
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    [title] => Neuviéme jour - Visite d'Istanbul
    [content] => [i]Par Anthony et Seb[/i] 

Aujourd'hui visite complète et intensive de la ville.

Nous commençons par le [url=http://fr.wikipedia.org/wiki/Palais_de_Topkapı]palais de Topkapi[/url]  puis [url=http://fr.wikipedia.org/wiki/Sainte-Sophie_(Constantinople)]Sainte Sophie[/url] et la [url=http://fr.wikipedia.org/wiki/Mosquée_bleue]mosquée Bleue[/url], après avoir grignoté quelques spécialités (crêpe pommes de terres et  fromage ainsi que des sucettes fabrication maison) , nous continuons par la visite d'une autre grande mosquée ([url=http://fr.wikipedia.org/wiki/Mosquée_Süleymaniye]Süleymaniye Camii[/url]) et l'aqueduc millénaire.
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Notre périple se termine sur les quais après avoir bien marché et déambulé dans la ville. Finalement nous serons resté côté Europe (ce qui a une signification plus touristique que géographique, la Turquie faisant partie, comme chacun sait , de l'Europe), plus riche en histoire.

Nous rentrons a notre hostel assez tôt : repos, rafraichissement et dernière mise au point pour le lendemain.

La soirée se passe tranquillement, chacun vaque a ses occupations, Romain à trouvé une nouvelle Australienne, et pour nous, petite ballade pour aller grignoter.

Nous nous couchons tard, considérant l'heure matinale à laquelle nous devrons nous lever.
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by seb - 2011-09-30 18:01
Par Anthony et Seb 

Aujourd'hui visite complète et intensive de la ville.

Nous commençons par le palais de Topkapi  puis Sainte Sophie et la mosquée Bleue, après avoir grignoté quelques spécialités (crêpe pommes de terres et  fromage ainsi que des sucettes fabrication maison) , nous continuons par la visite d'une autre grande mosquée (Süleymaniye Camii) et l'aqueduc millénaire.





Notre périple se termine sur les quais après avoir bien marché et déambulé dans la ville. Finalement nous serons resté côté Europe (ce qui a une signification plus touristique que géographique, la Turquie faisant partie, comme chacun sait , de l'Europe), plus riche en histoire.

Nous rentrons a notre hostel assez tôt : repos, rafraichissement et dernière mise au point pour le lendemain.

La soirée se passe tranquillement, chacun vaque a ses occupations, Romain à trouvé une nouvelle Australienne, et pour nous, petite ballade pour aller grignoter.

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    [content] => [i]Par Anthony[/i]

Aujourd'hui il pleut ce qui ne nous incite pas à nous lever tôt, nous mettons à profit la matinée pour rattraper un peu le retard que nous avons pris dans les résumés et mettre à jour le blog.

Après quoi, entre deux averses, nous partons à pied vers la tour de Galata, et déambulons tranquillement dans les artères piétonnes. Nous testons différentes spécialités culinaires: poissons, marrons, kebab, etc...

Au détour des différentes rue nous apercevons le vieux tramway et le funiculaire, nous passons à cote du Tünel, un des plus vieux métros au monde construit par les français en 1871.
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Nous remontons une longue artère commerçante le long de laquelle il y a de nombreux passages couverts comme on peut en trouver à Bordeaux ou Paris.

Nous arpentons ainsi de nombreuses rues et ruelles jusqu'à être paumés et trempés.

Ce n'est qu'à la nuit tombante et sous un ciel rose magnifique que nous rejoignons notre hostel "BadaBing".

Nous terminons notre journée par un casse croute sur les quais, kefta et baklava sans oublier un petit Raki de bon aloi pour clôturer cette journée d'immersion dans l'univers Turc.
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by seb - 2011-09-29 18:03
Par Anthony

Aujourd'hui il pleut ce qui ne nous incite pas à nous lever tôt, nous mettons à profit la matinée pour rattraper un peu le retard que nous avons pris dans les résumés et mettre à jour le blog.

Après quoi, entre deux averses, nous partons à pied vers la tour de Galata, et déambulons tranquillement dans les artères piétonnes. Nous testons différentes spécialités culinaires: poissons, marrons, kebab, etc...

Au détour des différentes rue nous apercevons le vieux tramway et le funiculaire, nous passons à cote du Tünel, un des plus vieux métros au monde construit par les français en 1871.


Nous remontons une longue artère commerçante le long de laquelle il y a de nombreux passages couverts comme on peut en trouver à Bordeaux ou Paris.

Nous arpentons ainsi de nombreuses rues et ruelles jusqu'à être paumés et trempés.

Ce n'est qu'à la nuit tombante et sous un ciel rose magnifique que nous rejoignons notre hostel "BadaBing".

Nous terminons notre journée par un casse croute sur les quais, kefta et baklava sans oublier un petit Raki de bon aloi pour clôturer cette journée d'immersion dans l'univers Turc.
 
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    [title] => Septième jour - Premiers contacts avec Istanbul
    [content] => [i]Par Anthony[/i]

À peine avons nous réussis à trouver le sommeil que nous somme réveillé par les douaniers grecs pour un petit contrôle d'identité, puis juste rendormis nous arrivons en Turquie pour un gros contrôle d'identité. Là nous devons carrément sortir du train où en plus du contrôle on nous gratifie d'un coup de tampon (youpi) sur le passeport.

Enfin nous pouvons nous reposer du sommeil du juste jusqu'aux environs de 9h. Nous émergeons tranquillement jusqu'à l'arrivée en longeant la mer de Marmara.

Fraichement débarqués, le temps de faire du change, nous nous jetons sur un kebab et une Efes, la bière locale.

Après quoi nous traversons le pont de Galata pour se retrouver sur la corne d'or, où nous avions repéré une auberge de jeunesse, malheureusement fermée.

Après une rapide actualisation dans un café très sympa, nous trouvons un autre hébergement juste à coté, toute neuve et très confortable (Bada bing 10€) Nous prenons possession des lieux.

Il fait beau et nous voulons profiter au maximum de ce lieux mythique, en effet cette ville est chargée d'histoire et cela se ressent tout de suite, la vue est époustouflante -surement la plus belle ville que nous ayons visité- des mosquées monumental,es la mer, l'ambiance, le climat...

La puissance de Byzance puis de Constantsoirée encore ici ...

Nous passons près de plusieurs grandes mosquées, visitons le bazars égyptien, le grand bazar et goûtons quelques spécialités dont les incontournables loukoums.

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Nous finissons la journée en faisant quelques résumés profitant de la connexion pour nous mettre à jour de notre retard accumulé depuis le début du séjour.

Une petite bouffe de rue nocturne (sandwich au poisson? ponctue cette journée bien remplie.
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by seb - 2011-09-28 18:03
Par Anthony

À peine avons nous réussis à trouver le sommeil que nous somme réveillé par les douaniers grecs pour un petit contrôle d'identité, puis juste rendormis nous arrivons en Turquie pour un gros contrôle d'identité. Là nous devons carrément sortir du train où en plus du contrôle on nous gratifie d'un coup de tampon (youpi) sur le passeport.

Enfin nous pouvons nous reposer du sommeil du juste jusqu'aux environs de 9h. Nous émergeons tranquillement jusqu'à l'arrivée en longeant la mer de Marmara.

Fraichement débarqués, le temps de faire du change, nous nous jetons sur un kebab et une Efes, la bière locale.

Après quoi nous traversons le pont de Galata pour se retrouver sur la corne d'or, où nous avions repéré une auberge de jeunesse, malheureusement fermée.

Après une rapide actualisation dans un café très sympa, nous trouvons un autre hébergement juste à coté, toute neuve et très confortable (Bada bing 10€) Nous prenons possession des lieux.

Il fait beau et nous voulons profiter au maximum de ce lieux mythique, en effet cette ville est chargée d'histoire et cela se ressent tout de suite, la vue est époustouflante -surement la plus belle ville que nous ayons visité- des mosquées monumental,es la mer, l'ambiance, le climat...

La puissance de Byzance puis de Constantsoirée encore ici ...

Nous passons près de plusieurs grandes mosquées, visitons le bazars égyptien, le grand bazar et goûtons quelques spécialités dont les incontournables loukoums.






Nous finissons la journée en faisant quelques résumés profitant de la connexion pour nous mettre à jour de notre retard accumulé depuis le début du séjour.

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Journée transport, objectif Istanbul via la Bulgarie et (durant quelques minutes) la Grèce: 4 pays en 24 h.

Après un réveil matinal, une petite rando urbaine pour rejoindre un bus qui en 1 heure nous emmène à Giurgiu, ville frontière entre la Roumanie et la Bulgarie.

De là nous marchons a nouveau 3 km le long de la voie ferrée pour rejoindre l'autre gare de la ville, notre promenade est agrémenté part des pieds de marijuana disséminés dans les bas-côtés.

Après un petit rafraichissement nous embarquons dans un premier train et là tout s'enchaine très vite: quelques km plus loin nous sommes en Bulgarie, on fait du change en express avant le départ du seul train de la journée pour notre destination, et repartons illico pour un interminable trajet, ponctué de plusieurs haltes pour soit changer de motrice, ou de train ou encore attacher ou détacher des wagons.

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Nous traversons de très vaste plaines céréalières et comme l'a justement remarqué Romain cela reflète bien l'univers de Kusturica, insolite...

Le pays parrait dévasté et moitié désert, seuls quelques paysans viennent rompre la monotonie des paysages, qui sont vite très vallonnés, puis abruptes.

C'est comme cela que l'on se retrouve vers minuit à Dimitrovgrad entourés de ce genre de signes:
Я Ж Ц Д Ф Щ Ю П Б Ч Ъ Й И Щ , la ville est déserte et vraiment sinistre. Seb est dépité de voir un paysage urbain aussi délabré.

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Suite à un retard du train en provenance de Sofia, capitale de la Bulgarie, nous sommes coincés à Dimitrovgrad de 23:30 à 03:30.

Il fait froid, dans ces bâtiments communistes délabrés et moitié désaffectés, une faune improbable rôde autour de la gare. Face à nous, deux wagons de feu notre train sont abandonnés voie 1, alimentés sur batterie, les voyageurs à l'intérieur dorment du sommeil du juste, et nous ne savons pas encore que le petit guichetier compétent nous a géré une couchette dans l'un d'entre eux, alors nous poireautons dans le froid, c'est mieux.

Le train de Sofia arrive enfin, la contrôleuse Bulgare nous dirige vers un wagon de deuxième classe assise miteux, et viens nous retrouver quelques minutes après pour nous conduire à nos couchettes, à l'autre bout du train. Ce wagon est turc, et le chef de wagon, un peu bourru mais bien sympa, nous distribue les oreillers et couvertures qui vont nous permettre de bien dormir.

À titre indicatif et pour mes archives, voici les horaires de ce trajet:

10:30 Bucarest (M2 - eroii revolutiei)
-> Bus - (15 RON)
11:30 Giurgiu, Station sud
-> Marche
12:20 Giurgiu Station Nord
14:25 Giurgiu Nord, Roumanie
-> Train (16 RON)
14:50 Ruse (Русе), Bulgarie
15:20 Ruse (Русе), Bulgarie
-> Train (86 BGN) jusqu'à Istanbul
23:30 Dimitrovgrad (Димитровград) - oblast de Khaskovo, Bulgarie
03:30 Départ
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by seb - 2011-09-27 18:01
Par Anthony, et Seb

Journée transport, objectif Istanbul via la Bulgarie et (durant quelques minutes) la Grèce: 4 pays en 24 h.

Après un réveil matinal, une petite rando urbaine pour rejoindre un bus qui en 1 heure nous emmène à Giurgiu, ville frontière entre la Roumanie et la Bulgarie.

De là nous marchons a nouveau 3 km le long de la voie ferrée pour rejoindre l'autre gare de la ville, notre promenade est agrémenté part des pieds de marijuana disséminés dans les bas-côtés.

Après un petit rafraichissement nous embarquons dans un premier train et là tout s'enchaine très vite: quelques km plus loin nous sommes en Bulgarie, on fait du change en express avant le départ du seul train de la journée pour notre destination, et repartons illico pour un interminable trajet, ponctué de plusieurs haltes pour soit changer de motrice, ou de train ou encore attacher ou détacher des wagons.



Nous traversons de très vaste plaines céréalières et comme l'a justement remarqué Romain cela reflète bien l'univers de Kusturica, insolite...

Le pays parrait dévasté et moitié désert, seuls quelques paysans viennent rompre la monotonie des paysages, qui sont vite très vallonnés, puis abruptes.

C'est comme cela que l'on se retrouve vers minuit à Dimitrovgrad entourés de ce genre de signes:
Я Ж Ц Д Ф Щ Ю П Б Ч Ъ Й И Щ , la ville est déserte et vraiment sinistre. Seb est dépité de voir un paysage urbain aussi délabré.



Suite à un retard du train en provenance de Sofia, capitale de la Bulgarie, nous sommes coincés à Dimitrovgrad de 23:30 à 03:30.

Il fait froid, dans ces bâtiments communistes délabrés et moitié désaffectés, une faune improbable rôde autour de la gare. Face à nous, deux wagons de feu notre train sont abandonnés voie 1, alimentés sur batterie, les voyageurs à l'intérieur dorment du sommeil du juste, et nous ne savons pas encore que le petit guichetier compétent nous a géré une couchette dans l'un d'entre eux, alors nous poireautons dans le froid, c'est mieux.

Le train de Sofia arrive enfin, la contrôleuse Bulgare nous dirige vers un wagon de deuxième classe assise miteux, et viens nous retrouver quelques minutes après pour nous conduire à nos couchettes, à l'autre bout du train. Ce wagon est turc, et le chef de wagon, un peu bourru mais bien sympa, nous distribue les oreillers et couvertures qui vont nous permettre de bien dormir.

À titre indicatif et pour mes archives, voici les horaires de ce trajet:

10:30 Bucarest (M2 - eroii revolutiei)
-> Bus - (15 RON)
11:30 Giurgiu, Station sud
-> Marche
12:20 Giurgiu Station Nord
14:25 Giurgiu Nord, Roumanie
-> Train (16 RON)
14:50 Ruse (Русе), Bulgarie
15:20 Ruse (Русе), Bulgarie
-> Train (86 BGN) jusqu'à Istanbul
23:30 Dimitrovgrad (Димитровград) - oblast de Khaskovo, Bulgarie
03:30 Départ
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    [title] => Cinquième jour - Visite de Bucarest
    [content] => [i]Par Anthony[/i]

Levé tard, puis visite de la ville, grace au pass métro, nous commençons par le monument phare de la ville le très, mais alors, très grand parlement.

Érigé par [url=http://fr.wikipedia.org/wiki/Nicolae_Ceaușescu]Nicolae Ceaușescu[/url] il représente bien la folie et la démesure de l'époque communiste 350 000 m² (35 hectares) de surface habitable, plus de 1100 pièces, 2ème plus grand bâtiment au monde après le Pentagone, Ж OLOSS Д L...
[i]voir photo de nuit plus bas[/i]

Ensuite ballade dans la ville avec ses artères immenses, version coco, pour que les chars puisse passer...

Nous repassons à l'hôtel pour faire une lessive, car il y a une machine et retournons à la gare pour organiser notre départ du lendemain, ne trouvant la solutions que tardivement pour économiser quelques euros.

Enfin nous finissons la journée dans la vieille ville avec de nombreux bâtiment imposants et des églises orthodoxes.
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Nous traînons un peu dans les bars qui animent les lieux en reluquant les filles qui -il faut le dire- sont juste magnifiques, couché tard, nous prenons quelques photos sur le chemin du retour.
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by seb - 2011-09-26 18:03
Par Anthony

Levé tard, puis visite de la ville, grace au pass métro, nous commençons par le monument phare de la ville le très, mais alors, très grand parlement.

Érigé par Nicolae Ceaușescu il représente bien la folie et la démesure de l'époque communiste 350 000 m² (35 hectares) de surface habitable, plus de 1100 pièces, 2ème plus grand bâtiment au monde après le Pentagone, Ж OLOSS Д L...
voir photo de nuit plus bas

Ensuite ballade dans la ville avec ses artères immenses, version coco, pour que les chars puisse passer...

Nous repassons à l'hôtel pour faire une lessive, car il y a une machine et retournons à la gare pour organiser notre départ du lendemain, ne trouvant la solutions que tardivement pour économiser quelques euros.

Enfin nous finissons la journée dans la vieille ville avec de nombreux bâtiment imposants et des églises orthodoxes.


Nous traînons un peu dans les bars qui animent les lieux en reluquant les filles qui -il faut le dire- sont juste magnifiques, couché tard, nous prenons quelques photos sur le chemin du retour.


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    [title] => Quatrième jour - Départ pour la Roumanie
    [content] => [i]Par Anthony[/i]

Nous nous réveillons tôt et pour tuer le temps restant avant le décollage nous buvons quelques cafés. Seb se fait enfler à deux reprises, surtout en faisant du change avec la "Forexchange" que nous citons juste pour leur faire de la mauvaise pub, à proscrire absolument.

Il obtient 85 Lei Roumaines pour 30,15€, j'obtiens à l'aéroport de Bucarest 114 Lei pour 30€, et Romain en obtient 86 pour 20€ dans le centre ville. Autant dire qu'il faut bien vérifier le taux appliqué avant de faire du change.

Puis vient le vol, comme dit Seb "c'est le bus", en retard, mais trajet sans problème et voilà nous sommes en Roumanie, il est presque midi.

Romain se jette sur un Mc gros et s'en tire pour presque aussi cher qu'en France, puis grace à internet et l'Iphone nous dégottons une petite auberge de jeunesse bien placée et pas trop chère qui va nous permettre de récupèrer de notre courte nuit précédente .

Avant nous mettons à profit la fin de journée pour visiter un peu la capitale grace au métro: nous avons pris un pass qui nous permet d'aller et venir à notre guise.

Nous passons à la gare, grignotons et allons nous coucher à une heure raisonnable.

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by seb - 2011-09-25 18:06
Par Anthony

Nous nous réveillons tôt et pour tuer le temps restant avant le décollage nous buvons quelques cafés. Seb se fait enfler à deux reprises, surtout en faisant du change avec la "Forexchange" que nous citons juste pour leur faire de la mauvaise pub, à proscrire absolument.

Il obtient 85 Lei Roumaines pour 30,15€, j'obtiens à l'aéroport de Bucarest 114 Lei pour 30€, et Romain en obtient 86 pour 20€ dans le centre ville. Autant dire qu'il faut bien vérifier le taux appliqué avant de faire du change.

Puis vient le vol, comme dit Seb "c'est le bus", en retard, mais trajet sans problème et voilà nous sommes en Roumanie, il est presque midi.

Romain se jette sur un Mc gros et s'en tire pour presque aussi cher qu'en France, puis grace à internet et l'Iphone nous dégottons une petite auberge de jeunesse bien placée et pas trop chère qui va nous permettre de récupèrer de notre courte nuit précédente .

Avant nous mettons à profit la fin de journée pour visiter un peu la capitale grace au métro: nous avons pris un pass qui nous permet d'aller et venir à notre guise.

Nous passons à la gare, grignotons et allons nous coucher à une heure raisonnable.
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    [title] => Troisième jour - Bergame
    [content] => Grace à un pass de transports en commun, nous pouvons effectuer notre visite expresse de Bergame, et nous commençons par la ville haute, perchée sur un éperon rocheux.

Six kilomètres de remparts percés de quatre portes, habitent ce qui était la ville originelle de Bergame, et beaucoup de bâtiments datent du 15e siècle, époque où les vénitiens fortifièrent la cité.

C'est un lieu touristique d'où les voitures sont bannies, et qui est desservie par deux funiculaires.

Nous y passons la journée, même si la plupart des monuments sont concentrés sur la Piazza Vecchia.

Nous commençons par la Rocca, ancien fort dont le parc est jonché d'armes datant des différentes guerres du XXe siècle.
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Ensuite direction la Piazza Vecchia, où nous pouvons admirer, dans l'ordre:

Le Palazzio della Ragione,
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Le Duomo, cathédrale de Bergame, richement ornée,
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Dans la bibliothèque, une exposition sur [url=http://fr.wikipedia.org/wiki/Lorenzo_Lotto]Lorenzo Lotto[/url], peintre vénitien précurseur de la renaissance, qui a été très actif à Bergame.

Nous prenons un funiculaire qui nous emmène encore un peu plus haut, sur les ruines d'un fort, le Castillo di San Vigilio.
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Aprés avoir visité un jardin botanique, dans la soirée, nous squattons un parc en centre ville avant de partir en bus vers l'aéroport.

Là, nous dormons sur un banc tels de bons vieux clochards.
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by seb - 2011-09-24 18:03
Grace à un pass de transports en commun, nous pouvons effectuer notre visite expresse de Bergame, et nous commençons par la ville haute, perchée sur un éperon rocheux.

Six kilomètres de remparts percés de quatre portes, habitent ce qui était la ville originelle de Bergame, et beaucoup de bâtiments datent du 15e siècle, époque où les vénitiens fortifièrent la cité.

C'est un lieu touristique d'où les voitures sont bannies, et qui est desservie par deux funiculaires.

Nous y passons la journée, même si la plupart des monuments sont concentrés sur la Piazza Vecchia.

Nous commençons par la Rocca, ancien fort dont le parc est jonché d'armes datant des différentes guerres du XXe siècle.


Ensuite direction la Piazza Vecchia, où nous pouvons admirer, dans l'ordre:

Le Palazzio della Ragione,


Le Duomo, cathédrale de Bergame, richement ornée,



Dans la bibliothèque, une exposition sur Lorenzo Lotto, peintre vénitien précurseur de la renaissance, qui a été très actif à Bergame.

Nous prenons un funiculaire qui nous emmène encore un peu plus haut, sur les ruines d'un fort, le Castillo di San Vigilio.


Aprés avoir visité un jardin botanique, dans la soirée, nous squattons un parc en centre ville avant de partir en bus vers l'aéroport.

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    [content] => Réveillés après une courte sieste, nous n'avons pas trop de mal à rejoindre Bergame, petite ville à côté de Milan.

Anthony essaye désespérément de trouver un bar qui diffuse le match de rugby France - Nouvelle Zélande, et renonce après nous avoir baladé dans toute la ville.

Nous continuons à nous balader un peu, prenons des informations à l'office de tourisme, et nous trouvons finalement un hôtel pour la nuit, pas très bon marché.

Nous nous perdons en le cherchant, et une Italienne nous y dépose finalement en voiture.

Après une petite collation, douze longues heures de sommeil nous attendent.
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by seb - 2011-09-23 18:11
Réveillés après une courte sieste, nous n'avons pas trop de mal à rejoindre Bergame, petite ville à côté de Milan.

Anthony essaye désespérément de trouver un bar qui diffuse le match de rugby France - Nouvelle Zélande, et renonce après nous avoir baladé dans toute la ville.

Nous continuons à nous balader un peu, prenons des informations à l'office de tourisme, et nous trouvons finalement un hôtel pour la nuit, pas très bon marché.

Nous nous perdons en le cherchant, et une Italienne nous y dépose finalement en voiture.

Après une petite collation, douze longues heures de sommeil nous attendent.
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    [content] => Nouveau voyage et nouvelle équipe, enfin nouvelle combinaison puisque cette fois-ci je suis accompagné de Romain, avec qui nous étions partis en [url=http://www.daryo.com/seb/categories/inde-carnets]Inde[/url], et d'Anthony, avec qui j'étais en [url=http://www.daryo.com/seb/categories/afrique-carnets]Afrique[/url].

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Nous partons cette fois pour les Balkans et la Grèce, via l'Italie. Les vols low cost nous permettront de faire le voyage à moindre frais moyennant des sauts de puce.

De Bordeaux à Bologne sur Ryanair, pour commencer, nous resteront deux jours en Italie, puis Bergame - Bucarest avec Wizzair, et là un périple de deux semaines de Roumanie en Grèce, avec un détour par la Turquie.

Nous repartiront de Thessalonique vers Bergame, à nouveau avec Ryanair, pour effectuer une visite express de cinq jours en Italie du nord, et retour dans 23 jours avec le même vol Bologne - Bordeaux que pour l'aller.

Tous ces vols nous coûtent moins de 90€, ce qui nous fait un petit périple tranquille et abordable.

Nous partons donc aujourd'hui d'Angoulême en voiture, accompagné de mon père, qui fera seul le voyage retour.

Le trajet en avion est très rapide, un peu plus d'une heure, et nous sommes vite dans le cœur du sujet.

Ce qui nous frappe avant tout c'est que nous n'avons rien préparé, aucun hébergement, aucun transport sur place, absolument rien n'est planifié.

Une fois au centre de Bologne, le wifi d'un bar ne me donne que peu d'indications sur les solutions disponibles, de plus il se fait tard, et nous décidons d'aller vers la gare pour rejoindre Bergame au plus vite.

Nous allons donc errer de trains régionaux en trains régionaux, puisque contrairement à la france, les chemins de fers italiens sont particulièrement efficace, et circulent même la nuit.

Une fois arrivé à Parme, ville où j'ai passé un peu de temps par le passé, nous avons trois heures devant nous pour essayer vainement de nous reposer.
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by seb - 2011-09-22 18:03
Nouveau voyage et nouvelle équipe, enfin nouvelle combinaison puisque cette fois-ci je suis accompagné de Romain, avec qui nous étions partis en Inde, et d'Anthony, avec qui j'étais en Afrique.



Nous partons cette fois pour les Balkans et la Grèce, via l'Italie. Les vols low cost nous permettront de faire le voyage à moindre frais moyennant des sauts de puce.

De Bordeaux à Bologne sur Ryanair, pour commencer, nous resteront deux jours en Italie, puis Bergame - Bucarest avec Wizzair, et là un périple de deux semaines de Roumanie en Grèce, avec un détour par la Turquie.

Nous repartiront de Thessalonique vers Bergame, à nouveau avec Ryanair, pour effectuer une visite express de cinq jours en Italie du nord, et retour dans 23 jours avec le même vol Bologne - Bordeaux que pour l'aller.

Tous ces vols nous coûtent moins de 90€, ce qui nous fait un petit périple tranquille et abordable.

Nous partons donc aujourd'hui d'Angoulême en voiture, accompagné de mon père, qui fera seul le voyage retour.

Le trajet en avion est très rapide, un peu plus d'une heure, et nous sommes vite dans le cœur du sujet.

Ce qui nous frappe avant tout c'est que nous n'avons rien préparé, aucun hébergement, aucun transport sur place, absolument rien n'est planifié.

Une fois au centre de Bologne, le wifi d'un bar ne me donne que peu d'indications sur les solutions disponibles, de plus il se fait tard, et nous décidons d'aller vers la gare pour rejoindre Bergame au plus vite.

Nous allons donc errer de trains régionaux en trains régionaux, puisque contrairement à la france, les chemins de fers italiens sont particulièrement efficace, et circulent même la nuit.

Une fois arrivé à Parme, ville où j'ai passé un peu de temps par le passé, nous avons trois heures devant nous pour essayer vainement de nous reposer.